formation,  - hatchery intensive development, hatchery and fish farming development, the new hatchery technologies, the recent fish farming studies, hatcheries material and technologies, intensive fish farming development, fish farming  studies technologies and  material, fish farming feasibility, fish farm conception technologies material, shell farmingformation,  - hatchery intensive development, hatchery and fish farming development, the new hatchery technologies, the recent fish farming studies, hatcheries material and technologies, intensive fish farming development, fish farming  studies technologies and  material, fish farming feasibility, fish farm conception technologies material, shell farmingformation,  - hatchery intensive development, hatchery and fish farming development, the new hatchery technologies, the recent fish farming studies, hatcheries material and technologies, intensive fish farming development, fish farming  studies technologies and  material, fish farming feasibility, fish farm conception technologies material, shell farming
Aquaculture
° Home
° News
° Aquaculture Engineering
° References
° Where to find us ?
° Contact
° Jobs, placements

Marine farms, hatcheries
° Marine farms
° Marine hatcheries

Shellfish purification
° Shellfish purification units
° Stations capacities

Packaging
° Packaging units

Public aquariums
° Public and private aquarium
° Museography

Quality and Agreement Approach
° Sanitary accreditation
° Control and certification

Environmental Impact study
° Reglementation and Environmental Impact Studies
° Environmental Impact Study

Technical guidance
° Aeration
° Feeding
° Packaging
° Electricity and energy
° Rearing Enclosures Tanks and cages
° Filtration
° Measures and analysis
° Navigation
° Pumping
° Products and Treatments
° Sterilization/Sterilisation
° Heating and Cooling
° Transformation
° Sorting and counting
° Farming Technologies
° Services
° Training
° French Aquaculture Institute
° Directory

Formation

Liste des abréviations utilisées
CEMPAMA: Centre d'Etude du Milieu et de la Pédagogie Appliquée du Ministère de l'Agriculture
CFA : Centre de Formation d'Apprentis
CFPPA : Centre de Formation Professionnelle pour adultes
EMA : Ecole Maritime et Aquacole
ENITA : Ecole Nationale d'Ingénieurs des Techniques Aquacoles
ENSA : Ecole Nationale Supérieure Agronomique
LAF :Lycée Agricole Forestier
LAP :Lycée Agricole Privé
LEGTA : Lycée d'Enseignement Général des Techniques Agricoles
LAM : Lycée Aquacole Maritime
LMA : Lycée Maritime et Aquacole
LPE : Lycée Professionnel d'Enseignement (E.N.)
LPA : Lycée Professionnel Agricole
MF : Maison Familiale
 
Source Formations Agricoles : Direction de l'Espace Rural et de la Forêt
Source Formations Maritimes : AGEMA
Note sur le système éducatif français
 
1. En France, les enfants vont au collège de 11 ans à 15 ans, puis au lycée jusqu'à 18 ans.
 
2. Les classes se décomposent comme suit :
Collège : Age classe Lycée : Age classe
 
11-12 sixième 15-16 seconde
12-13 cinquième 16-17 première
13-14 quatrième 17-18 terminale
14-15 troisième
3. A la fin de la terminale, les étudiants passent le baccalauréat, examen qui conduit soit à un cursus universitaire normal, soit à des études professionnelles, soit aux classes préparatoires (2 ans) qui débouchent sur des concours d'entrée aux grandes écoles (voir 4) ou écoles d'ingénieurs.
 
4. “Ecole“ dans cette section est un Institut d'études supérieures, à un niveau de diplôme universitaire élevé. Ainsi, l'ENSA est l'Ecole Nationale Supérieure Agronomique. De telles écoles proposent un cycle de trois ans qui conduit au diplôme d'ingénieur qui ne correspond pas au niveau anglais 'Engineering degree'. C'est un diplôme de hautes études techniques (soit en agriculture, soit dans d'autres domaines scientifiques), qui s'obtient cinq ans après le baccalauréat.
To contact AQUALOG


aqualog@aqualog.fr                Tél. : 0033 (0)4 94 10 26 26




 


Aquaculture française et formation

La production aquacole française est composée à 85% de produits d'élevage marins et à 15% de produits d'élevage continentaux (eaux douces).
Deux cultures ont historiquement contribué à un développement de l'aquaculture française : la conchyliculture (ostréiculture et mytiliculture) d'une part, et la trutticulture pour la partie eau douce, d'autre part.
Les techniques de ces cultures traditionnelles actuellement très prédominantes ont évolué essentiellement dans le sens d'une intensification des conditions de la production avec apparition de techniques d'élevage pratiquées en milieu contrôlé notamment pour la production de juvéniles. La recherche de nouveaux espaces de cultures a également conduit à la mise au point de nouvelles structures d'élevage qui engendrent actuellement des développements, notamment mytilicoles, importants.
Dans le cas de la conchyliculture, les aspects liés à la mise en marché d'un produit vivant à saisonnalité marquée et ceux liés à un système de culture en milieu ouvert ont contribué, avec l'augmentation des tonnages de produits, à la nécessité de mise au point de méthodes de gestion de production et de méthodes commerciales plus pertinentes.
De nouvelles filières de production sont apparues principalement dans le secteur des cultures marines, nécessitant des compétences accrues.
On peut ainsi citer le développement des élevages de poissons marins (truite de mer, bar, daurade, et turbot) de mollusques (palourde japonaise), de crustacés (crevette pénéïde) et de l'aquaculture d'étang. Certaines de ces nouvelles productions sont arrivées au stade de maturité, d'autres sont encore soumises à des contraintes technico-économiques en France.
Enfin, l'aquaculture pratiquée en mer ouverte implique l'utilisation de navires et donc de compétences connexes purement maritimes.
Par contre, la croissance de certaines productions a pu se produire plus rapidement en dehors des frontières hexagonales et notamment au sein des pays de la CEE. C'est le cas particulièrement de la filière bar en Grèce, de la daurade en Espagne, ou du saumon en Grande-Bretagne.
 
Le dispositif de formation
Le dispositif de formation est présent au sein d'établissements relevant soit de l'Enseignement Maritime, soit de l'Enseignement Agricole, soit encore de l'Education Nationale. (voir Carte de répartition des différents établissements).
 
Les formations initiales : Ces formations s'adressent à des jeunes issus d'un collège, d'un lycée d'enseignement général ou technologique ou de l'Université. Le dispositif de formation est basé sur 7 niveaux d'entrée (de la classe de 5ème au niveau de maîtrise) et 5 niveaux de qualification de la formation professionnelle à l'issue des formations (du CAP au diplôme d'ingénieur). (voir Schéma des niveaux de la formation professionnelle). 
 
Les formations continues :
Elles s'adressent à des adultes recherchant une spécialisation et à tout autre public souhaitant intégrer la profession. On trouve ainsi des formations à thème initiées par différents organismes à l'occasion d'innovations technologiques ou lors de l'émergence de nouvelles filières de production. Des formations aux fonctions tertiaires dans les entreprises sont également réalisées.
Il existe par ailleurs des formations institutionnalisées mises au point pour accompagner l'installation des jeunes chefs d'exploitations.
 
Nature des formations
L'ensemble de ces formations apporte des compétences et qualifications adaptées à l'exercice d'une famille de métiers, mais le dispositif de formation répond également aux obligations légales d'installation des chefs d'exploitation (Capacités professionnelles, agricoles et maritimes). (voir Schéma Prérogatives).
Les différentes formations initiales peuvent être distinguées en outre par leur niveau de qualification, par le secteur professionnel qu'elles couvrent (formation à un métier ou à une famille de métiers) et par les fonctions auxquelles elles préparent.
Indépendamment des qualifications, l'expérience acquise éventuellement au cours des stages longs du cursus de formation est une composante importante de la compétence globale du diplômé.
 
Les formations initiales
 
Les formations de conchyliculteur
- CAP (Certificat d'Aptitude Professionnelle) Maritime de Conchyliculture :
(culture et expédition de coquillages). Il s'agit du premier niveau de qualification des exploitations conchylicoles comportant une large part d'enseignement pratique. La fonction visée est celle d'un ouvrier qualifié. Niveau d'entrée : 5ème des collèges - cycle de 3 ans.
 
- BEP (Brevet d'Etudes Professionnelles) Maritime de Cultures marines :
Une formation qui prépare à la conduite de l'ensemble des travaux de l'exploitation conchylicole et à l'exercice d'une part des responsabilités pouvant déboucher sur la reprise d'exploitation.
Niveau d'entrée : 3ème des collèges - cycle de 2 ans.
 
La formation de pisciculteur, aquaculteur
- BEP Agricole, option Exploitation, spécialité Aquaculture :
Cette formation prépare les jeunes à devenir des ouvriers qualifiés des entreprises aquacoles.
Niveau d'entrée : 3ème des collèges - cycle de 2 ans.
 
- Les formations d'aquaculteur au sens large :
-Baccalauréat Professionnel Cultures Marines (Conchyliculture et Aquaculture Marine) :
Une formation par alternance qui conduit à des fonctions de responsabilités dans les exploitations ou entreprises de ce secteur. Suivant l'approfondissement choisi, la fonction préparée est, à terme, celle d'un responsable technique d'une unité de production en bordure littorale et offshore, ou celle de responsable associé de la commercialisation des produits.
Un bon compromis pour les entreprises artisanales du secteur à la recherche de personnel d'encadrement, d'associés ou de repreneurs. Une qualification prévue pour intégrer l'équipe production d'une entreprise d'aquaculture industrielle.
Niveau d'entrée : certains BEP et certaines classes de 1ère des lycées - cycle de 2 ans.
 
- BTA (Brevet de technicien Agricole) secteur production, option productions aquacoles.
(Pisciculture et Aquaculture) :
Une qualification professionnelle acquise dans la production qui débouche sur une fonction de responsable ou d'associé capable de mettre en place tel ou tel système de production aquacole. La formation prépare aussi à des fonctions de technicien et de gestionnaire de la production des entreprises industrielles de pisciculture d'eau douce ou marine.
Niveau d'entrée : Seconde des lycées et certains
BEP - cycle de 2 ans.
 
- BTSA (Brevet de Technicien Supérieur Agricole) option productions aquacoles (Pisciculture et Aquaculture) :
Le titulaire a pour fonctions majeures de diriger une exploitation aquacole, de créer une entreprise ou un atelier aquacole. Il peut également prétendre à devenir un agent de développement et de recherche en aquaculture, un partenaire technique pour un investisseur souhaitant créer une entreprise artisanale.
Niveau d'entrée : Baccalauréat, BTA ou équivalent - cycle 2 ans.
 
 
- DESTA (Diplôme d'Etudes Supérieures en Techniques aquacoles) :
Formation de cadres des entreprises d'aquaculture industrielle susceptibles d'intervenir dans les différents pays de la CEE.
Niveau d'entrée : Baccalauréat + 2 années - cycle de 2 ans.
 
Les formations du domaine de l’exploitation et de la valorisation des ressources maritimes
- DTSM (Diplôme National de Technicien Supérieur de la Mer) Option génie aquacole et productions marines :
Le DTSM couvre plusieurs secteurs de production aquaculture et pêche, mais également leur filière technique aval.
Niveau d'entrée : Baccalauréat ou équivalent - cycle de 2 ans.
 
- DESS (Diplôme d'Enseignement Supérieur Spécialisé) option Exploitation des ressources vivantes côtières (Aquaculture et Pêche) :
Le diplômé pourra remplir un ensemble de fonctions (production, gestion et commercialisation) dans le secteur de l'aquaculture et de la pêche. Un cadre pouvant intervenir sur des systèmes aquacoles en développement. Niveau d'entrée - cycle de 1 an.
 
- Ingénieur Agronome, spécialisation halieutique, aquaculture ou ichtyologie appliquée :
Certaines écoles d'ingénieurs dispensent des enseignements optionnels en aquaculture et pêches maritimes et fournissent les cadres des entreprises d'aquaculture industrielle (ENSA, INA). Ils interviennent également au sein des organismes professionnels, de l'administration et des secteurs connexes.
Niveau d'entrée : classes préparatoires et Baccalauréat + 2 années - cycle de 3 ans.
NOTA : Seules les formations les plus répandues et à forte vocation aquacole ont été signalées.
La formation continue
 
Les formations continues institutionnalisées peuvent être distinguées essentiellement par leurs conditions d'accès. Elles sont directement liées à des prérogatives (voir tableau Formation et Prérogatives).
- Stage de formation complémentaire en cultures marines (240 h) :
Réservé aux professionnels justifiant de 3 ans d'expérience professionnelle dans les secteurs des cultures marines, de la pêche et agricole. Cette formation prépare à l'installation sur le domaine public maritime.
- Stage préparatoire au Brevet Professionnel Agricole (et Maritime pour les cultures marines).
Accessible à un public diversifié justifiant d'un an d'activité professionnelle non spécifique, ce stage de 800 à 1200 heures prépare à l'installation sur le domaine public maritime (dans le cas des cultures marines) et donne accès aux aides agricoles sous certaines conditions. Le 240 heures constitue un acquis partiel de ce stage.
- Stage d'installation de 40 heures
Accessible au public ayant droit aux aides agricoles, il permet la constitution d'un dossier technico-économique qui servira de base à l'instruction de l'octroi d'aides agricoles.
D'autres formations existent, préparant notamment à des Certificats de Spécialisation en Aquaculture ou au Master Européen "Aménagement et gestion des productions aquatiques".
 
Cas particulier des brevets de navigation
Deux brevets peuvent être nécessaires aux aquaculteurs exerçant leur activité en mer ouverte (voir tableau Formation et Prérogatives).
Il s'agit du CACMNC (Certificat d'Aptitude à la Conduite des moteurs des Navires Conchylicoles) pour l'usage des navires conchylicoles de petite taille ou le Certificat de Capacité pour les navires plus importants. Indépendamment de leur obtention par la voie de la formation continue, une préparation au CACMNC est intégrée dans les programmes des cursus des CAPMC, BEPMC, BAC.PRO, CM, DTSM et de certaines formations continues. Le CACMNC est délivré conjointement (sous conditions) avec l’examen du BEPMCM.
 


To contact AQUALOG


aqualog@aqualog.fr                Tél. : 0033 (0)4 94 10 26 26




 





RETOUR


© 2008 - 2024 www.aquaculture-engineering.com
Aqualog
Bouée Borha
Corniche du Bois Sacré
Marépolis Est
83500 La Seyne sur Mer
Tél. : 04 94 10 26 26
Fax : 04 94 10 26 30

Haut