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La supplémentation des régimes

Outre les matières premières, telles que farines animales, tourteaux, huiles, farines ou coproduits végétaux divers, les aliments pour poissons renferment systématiquement un “prémélange” ou “prémix” ou “complément” apportant des constituants mineurs : vitamines, oligo-éléments ou autres minéraux, antioxydants, parfois autres additifs.
 
Les vitamines sont des nutriments essentiels, c’est-à-dire nécessaires à la vie et aux bonnes performances de l’animal, au même titre que certains acides aminés des protéines, ou certains acides gras des huiles ou graisses.
Mais elles présentent, par rapport à ces derniers, deux caractéristiques principales : d’une part elles sont nécessaires en quantité très faible et leur incidence sur le coût des formules est limitée, d’autre part leur analyse dans les matières premières est onéreuse.
Bien que la teneur des matières premières en vitamines soit très variable (ne serait-ce que parce que plusieurs d’entre elles sont très instables), les fabricants ne font pas de contrôle systématique de l’apport de vitamines par leurs matières premières, préférant ajouter dans le complément une quantité équivalant au moins au besoin, c’est-à-dire à la dose pour laquelle on n’observe pas de signe de carence et où les performances sont normales.
Cet apport comporte en fait un excès important qui correspond à la marge de sécurité que prend le fabricant pour compenser les pertes qui ont lieu pendant la fabrication et le stockage du granulé.

Les marges de sécurité peuvent devenir exorbitantes, par exemple pour l’acide ascorbique (vitamine C), composé extrêmement instable, non nécessaire aux mammifères et aux oiseaux mais indispensable aux poissons (comme à l’homme).
Il se trouve que, pour la vitamine C comme pour la vitamine E, des excès par rapport au besoin peuvent renforcer les défenses immunitaires du poisson.
Dans les autres cas, les excès de vitamines n’ont aucun effet bénéfique; ce ne sont nullement des gages de qualité de l’aliment.
Dans le cas des vitamines A, D, E et K, les excès importants peuvent même théoriquement devenir nocifs; dans la pratique, ce n’est possible qu’avec des excès de vitamine K3.
 
Les vitamines ajoutées aux aliments sont en général d’origine synthétique; leur efficacité est la même que celle des vitamines naturelles, car leur formule est presque toujours identique.


Les formes commercialisées sont choisies pour leur plus grande stabilité.
Des formes stables de vitamine C (phosphates) existent depuis peu. Notons que apport et garantie de conservation sont obligatoires en France pour trois vitamines : A, D, et E.
Les oligo-éléments minéraux, et en particulier le manganèse, le cuivre, le zinc, le fer et l’iode, bien que stables, sont, comme les vitamines, présents en quantité très variable dans les matières premières.
Ils sont ajoutés de façon systématique dans les compléments pour poissons d’eau douce; ils sont beaucoup moins utiles chez les poissons marins qui trouvent aisément la presque totalité des minéraux dont ils ont besoin dans l’eau de mer.
Leur toxicité pourrait être considérable en cas d’excès et leur taux maximal d’incorporation est fixé pour certains d’entre eux (cuivre par exemple).
Les antioxydants sont systématiquement ajoutés aux aliments pour poissons afin de limiter la péroxydation des acides gras. Ils agissent en synergie avec la vitamine E, bien que celle-ci soit irremplaçable pour ses fonctions biologiques.
Leur taux d’incorporation dans les aliments ou les matières premières qui les composent est limité par la loi, bien que les excès soient pratiquement inoffensifs.


Les autres ingrédients dont la mention doit être faite sur l’étiquette sont les “colorants”, les adjuvants de fabrication ou de conservation (émulsifiants, antimottants, antifongiques). Pour les poissons, aucun facteur de croissance n’est autorisé.
Les caroténoïdes (astaxanthine) sont, avec les antioxydants déjà mentionnés, pratiquement les seuls ingrédients de cette catégorie utilisés en aquaculture.
Ils permettent d’obtenir une chair rose chez le saumon ou la truite quand l’aliment est trop pauvre en source naturelle de caroténoïdes efficaces.
Les médicaments ne peuvent être ajoutés que dans les aliments particuliers, dits médicamenteux, prescrits par un vétérinaire. Ils ne peuvent être considérés comme des additifs normaux des aliments.



 


 


 


 


Les vitamines ajoutées aux aliments sont en général d’origine synthétique; leur efficacité est la même que celle des vitamines naturelles, car leur formule est presque toujours identique.


Les formes commercialisées sont choisies pour leur plus grande stabilité.
Des formes stables de vitamine C (phosphates) existent depuis peu. Notons que apport et garantie de conservation sont obligatoires en France pour trois vitamines : A, D, et E.
Les oligo-éléments minéraux, et en particulier le manganèse, le cuivre, le zinc, le fer et l’iode, bien que stables, sont, comme les vitamines, présents en quantité très variable dans les matières premières.
Ils sont ajoutés de façon systématique dans les compléments pour poissons d’eau douce; ils sont beaucoup moins utiles chez les poissons marins qui trouvent aisément la presque totalité des minéraux dont ils ont besoin dans l’eau de mer.
Leur toxicité pourrait être considérable en cas d’excès et leur taux maximal d’incorporation est fixé pour certains d’entre eux (cuivre par exemple).
Les antioxydants sont systématiquement ajoutés aux aliments pour poissons afin de limiter la péroxydation des acides gras. Ils agissent en synergie avec la vitamine E, bien que celle-ci soit irremplaçable pour ses fonctions biologiques.
Leur taux d’incorporation dans les aliments ou les matières premières qui les composent est limité par la loi, bien que les excès soient pratiquement inoffensifs.


Les autres ingrédients dont la mention doit être faite sur l’étiquette sont les “colorants”, les adjuvants de fabrication ou de conservation (émulsifiants, antimottants, antifongiques). Pour les poissons, aucun facteur de croissance n’est autorisé.
Les caroténoïdes (astaxanthine) sont, avec les antioxydants déjà mentionnés, pratiquement les seuls ingrédients de cette catégorie utilisés en aquaculture.
Ils permettent d’obtenir une chair rose chez le saumon ou la truite quand l’aliment est trop pauvre en source naturelle de caroténoïdes efficaces.
Les médicaments ne peuvent être ajoutés que dans les aliments particuliers, dits médicamenteux, prescrits par un vétérinaire. Ils ne peuvent être considérés comme des additifs normaux des aliments.





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